mercredi 11 mars 2009

Aoyama dans la capitale de l'est, Hiroshige



Cette image-là, je l'aime moins, mais elle me touche plus.

(Allez comprendre).

La montagne, ahute et écrasante, les petits silhouettes des hommes, minuscules par rapport à la nature...

On sent l'odeur des pins...

Ce dessin évoque directement (encore une fois, quand je regarde les estampes) les pins, des promenades au milieu des pins, et toutes sortes de choses de ce type. Directment. Il ne me fait pas basculer en lui-même : il me reprojette dans le passé, dans des expériences déjà vécues...

Bizarre.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

bonjour, c'est vrai que nous sommes minuscules face à la nature pourtant nous sommes en train de la détruire
Bisous

opbestcom a dit…



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(freaky)